Nous vous avons souvent donné des conseils pour augmenter votre taux d’ouverture. Rendre le nom de l’expéditeur bien visible ou encore peaufiner les objets, les idées ne manquent pas quand il s’agit d’inciter les internautes à ouvrir vos emails. Cependant, il y a un autre paramètre que vous pouvez prendre en compte. Ce sont des preheaders, ou encore l’en-tête des emails. En effet, ils peuvent être lus dans le volet de prévisualisation des webmails. Ils sont donc une seconde opportunité de saisir l’attention de vos prospects. Stratégiquement parlant, ça sera comme rédiger un second objet, ou un sous objet. Vous devez donc consacrer une certaine réflexion à la rédaction de la première ligne de votre email. Il est bien sûr hors de question de répéter votre objet dans le preheader, cette redite n’incitera pas le destinataire à ouvrir le mail. Si votre objet suggère une offre promotionnelle, vous pouvez utiliser le preheader pour préciser cette offre. Par exemple, donnez les bornes temporelles de l’offre ou précisez sur quels types de produits elle porte. Vous pouvez aussi évoquer les pourcentages de remises effectuées. Pour une newsletter, à caractère informatif, le preheader va aussi être un moyen d’augmenter l’ouverture. Si votre objet ressemble à « newsletter de janvier 2012 », servez-vous du header pour décrire les gros titres de votre newsletter. Si votre prospect est attiré par l’un d’entre eux, il ouvrira certainement votre mail pour en savoir plus. Sans le preheader, le prospect peut donc passer à côté d’une information qui l’intéresse et vous à côté d’une ouverture supplémentaire. Quand on sait que les FAI vont désormais trier les mails par rapport au comportement des internautes, il serait dommage de se passer de ça. Pour tout autre type de mails, le preheader servira de complément d’information. Ainsi le prospect pourra définir de quoi il s’agit ou si l’information est urgente ou non. Ceci aussi l’aidera grandement à prioriser la lecture de certains mails par rapport à d’autres et à organiser la gestion de sa boîte de réception. Comme pour les objets, vous pouvez toujours effectuer des split-testing sur les preheaders afin de déterminer lequel convainc le mieux les internautes d’ouvrir votre emailing. En testant les objets et les preheaders, vous êtes presque sûrs de trouver les meilleures des formules !