L’emailing est un outil très pratique, notamment en ce qui concerne le feedback. Étant un moyen informatique et moderne, l’emailing peut être soumis à de nombreux traceurs afin de qualifier les performances d’une campagne emailing.
A ce titre, les utilisateurs de MailproTM peuvent profiter de rapports complets avec des statistiques détaillées qui permettent d’analyser les divers taux. Par ailleurs, en couplant toutes ces informations, on se rend compte que l’on peut ainsi mettre en évidence la valeur de chacun de vos prospects.
Ici on ne peut pas parler de valeur commerciale, mais il s’agit plutôt d’un degré d’implication du contact par rapport à votre entreprise/marque, qui incontestablement influe sur le montant des achats qu’il est susceptible d’effectuer.
Le premier indicateur est bien sûr l’activité des contacts. Un contact peu actif n’est pas supposé faire des achats. L’activité du contact va donc être définie par les résultats des campagnes auxquelles il a été soumis. Suivant le sujet des campagnes emailing, il se peut que son activité soit fluctuante. Ceci vous permettra par la même occasion de cibler un peu plus ses centres d’intérêt.
Un autre détail va entrer en ligne de compte : la dimension temporelle. En effet, suivant les périodes, un contact peut être plus ou moins actif. Le mieux donc est de mettre en évidence des éventuelles périodes d’inactivité, qui pourraient vous servir à déterminer un cycle de vie, non pas journalier ou hebdomadaire, mais plutôt annuel par exemple.
Ensuite, en plus de l’inactivité, la valeur de votre prospect va être déterminée grâce aux transformations auxquelles il aura participé après avoir reçu un emailing. Vous devez donc regarder pour cela le nombre de clics qui ont abouti à une ou plusieurs ventes. Cependant, ce taux est parfois un peu faussé, puisque dans ce cas-là on ne comptabilise que les ventes directes, celles qui ont eu lieu à la suite d’un clic. Néanmoins, rien n’empêche un prospect de lire un emailing, sans le cliquer, et plus tard de visiter le site et d’acheter un produit : c’est donc une vente indirecte qui n’est pas comptabilisée dans le taux de transformation.
La valeur d’un contact ne dépend donc pas que de son activité ou de sa réactivité. Il faut aussi prendre en compte ses interactions et surtout celles qui mènent à des achats. Inutile de dire que plus un contact achète, plus sa valeur est importante.