
Le démarchage des B2B peut parfois être compliqué étant donné que les professionnels fuient souvent la prospection. Or il vous faut bien engager des leads. Le lien entre le prospect et la transformation est le call-to-action, il est vraiment la première étape vers une action de votre cible. Il faut donc que ce call-to-action soit visible, efficace mais pas agressif. Voici quelques conseils de réalisation pour vos call-to-action dans les emailings. Votre bouton doit graphiquement s’insérer dans votre emailing mais doit pouvoir s’en détacher. Par exemple, imaginons que la couleur dominante de votre emailing soit le orange, vous pouvez créer des boutons un peu plus foncés (rouges) ou clairs (jaunes) pour les mettre en évidence. Au survol du bouton, faites changer la couleur pour que le prospect comprenne qu’il y a une interaction possible et clique. Le texte du call-to-action est celui qui va conditionner l’envie de cliquer. Si vous optez pour « lire la suite » ou « en savoir plus », sachez que vous n’attirerez pas forcément l’attention tant ces termes sont communs. Pour les B2B, on évitera aussi les verbes du style « Acheter » ou « Réserver » qui sont trop agressifs commercialement. Alors que choisir ? Les B2B apprécient de pouvoir comparer des offres ou produits. Optez donc pour des textes plus tournés vers l’information : « Obtenez une brochure », « Contactez un conseiller », « Comparez nos produits », « Demandez une étude », etc. Le texte d’un bouton doit aussi être court entre 1 et 4 mots maximum, sinon le call-to-action ne ressemble plus à un bouton et n’est plus efficace. N’oubliez pas que le contexte du call-to-action favorise ou non son efficacité. Si vos images sont visibles, si vos textes sont attrayants alors les prospects auront plus de facilités à cliquer. Autre point, une fois le clic effectué, il n’y a pas encore transformation, ce n’est que le début du tunnel. Pensez donc à faire une belle page d’atterrissage qui donnera encore envie de cliquer jusqu’à la validation du panier.