Imaginez : vous lancez votre newsletter, vous cliquez sur « envoyer » et, au lieu de voir vos taux d’ouverture habituels, vous constatez une chute spectaculaire. Le stress monte. Tous vos e-mails sont-ils passés en spam ? Gmail a-t-il soudain décidé de vous bloquer ?

Une baisse soudaine de la délivrabilité peut être déroutante, mais la bonne nouvelle, c’est que la plupart des problèmes peuvent être diagnostiqués et corrigés. Dans ce guide, nous vous accompagnons pas à pas pour comprendre ce qui s’est passé, comment le résoudre et comment éviter que cela ne se reproduise.

Ce que signifie vraiment la délivrabilité e-mail

« Distribué » signifie seulement que votre e-mail a atteint le serveur destinataire. La délivrabilité indique s’il arrive bien dans la boîte de réception (et non en spam). Des fournisseurs comme Gmail, Yahoo ou Outlook évaluent votre message selon l’authentification, la réputation et l’engagement. Si l’un de ces signaux se dégrade, le placement en boîte de réception peut chuter très vite.

Les statistiques de campagnes Mailpro vous montrent exactement où arrivent vos e-mails et comment réagissent les abonnés.

Étape 1 — Confirmer que la baisse est réelle

La toute première chose à faire quand vous remarquez une chute soudaine des ouvertures ou de l’engagement, c’est de vérifier que le problème est réel. Beaucoup de marketeurs paniquent pour ce qui n’est qu’une campagne isolée moins performante que d’habitude.

Comme un témoin sur un tableau de bord : parfois c’est une vraie panne, parfois juste un faux-positif. Voici comment confirmer si vous faites face à un problème de délivrabilité ou à un simple aléa :

  1. Comparez plusieurs campagnes.
    Ne vous fiez pas à un seul envoi. Remontez sur deux ou trois campagnes. Si la baisse d’ouvertures ou de clics n’a eu lieu qu’une fois, le sujet ou le contenu était peut-être moins pertinent. Si la baisse se répète, il s’agit probablement d’un problème de délivrabilité.
  2. Détaillez par fournisseur de messagerie.
    Avec les statistiques Mailpro, comparez Gmail, Outlook, Yahoo, etc. Si Gmail chute mais pas Outlook, le souci est propre aux filtres de Gmail—pas à toute votre liste. L’enquête devient beaucoup plus ciblée.
  3. Vérifiez les clics autant que les ouvertures.
    Si le taux de distribution reste stable mais que le taux de clics baisse, ce n’est sans doute pas la délivrabilité : c’est le contenu/offre. En revanche, si le taux de distribution baisse ou que la majorité des messages finissent en spam, la délivrabilité est bien la cause.

En prenant du recul pour confirmer le problème, vous évitez de traiter le mauvais sujet. Cette étape rapide vous fait gagner du temps et vous évite de confondre faiblesse de contenu et problème technique de délivrabilité.

👉 En bref : confirmez toujours avant d’agir. Une baisse peut être un vrai signal d’alerte—ou simplement une campagne qui a moins fonctionné.

Étape 2 — Vérifier SPF, DKIM et DMARC

Considérez l’authentification e-mail comme votre passeport et votre pièce d’identité. Sans cela, les boîtes aux lettres ne vous « laissent pas passer » en inbox. Cette confiance repose sur trois protocoles : SPF, DKIM et DMARC.

À quoi ils servent

  • SPF (Sender Policy Framework) : une « liste blanche » des serveurs autorisés à envoyer pour votre domaine. Un serveur non autorisé = suspicion.
  • DKIM (DomainKeys Identified Mail) : une signature numérique par message qui prouve l’intégrité du contenu et l’origine de votre domaine.
  • DMARC : votre politique de sécurité. Elle précise quoi faire si SPF ou DKIM échoue (ignorer, mettre en quarantaine, rejeter) et fournit des rapports sur qui envoie au nom de votre domaine.

Pourquoi ça se dérègle

  • Changement DNS sans mise à jour du SPF.
  • Migration vers un nouveau routeur/outil sans configuration DKIM.
  • Plusieurs plateformes d’envoi (newsletter, CRM, transactionnel) mais une seule correctement authentifiée.
  • Politique DMARC absente ou trop stricte, provoquant des rejets d’e-mails valides.

Un léger mauvais paramétrage peut suffire à faire chuter l’inbox. Tout peut fonctionner, puis un changement DNS casse la chaîne et la délivrabilité s’effondre du jour au lendemain.

Comment vérifier

  • Utilisez un outil comme MXToolbox ou le test anti-spam intégré de Mailpro pour vérifier l’alignement SPF/DKIM.
  • Envoyez-vous un test et lisez les en-têtes : Gmail, par exemple, indique si SPF, DKIM et DMARC sont « PASS » ou « FAIL ».
  • Assurez-vous que votre enregistrement DMARC est publié et aligné (le domaine « From » correspond au domaine authentifié).

Comment Mailpro aide

Mailpro vous fournit les entrées DNS exactes pour configurer SPF et DKIM, et vous permet de publier DMARC pour renforcer la confiance—voire d’aller plus loin avec BIMI pour afficher votre logo dans la boîte de réception.

👉 L’authentification n’est plus optionnelle. C’est la base de la confiance entre votre domaine et les fournisseurs. Sans elle, même la meilleure campagne peut atterrir en spam.

Configuration SPF DKIM DMARC - Mailpro

Étape 3 — Vérifier la réputation d’expéditeur et les listes noires

Même avec SPF, DKIM et DMARC parfaits, vos e-mails doivent être « dignes de confiance » pour les fournisseurs. Cette confiance se mesure via votre réputation d’expéditeur.

Pensez-la comme un score de crédit : il se construit sur la durée, mais peut chuter d’un coup si vous accumulez les « mauvais signaux ». Gmail ou Outlook vous enverront alors en spam—ou vous bloqueront.

Ce qui impacte votre réputation

  1. Plantages en spam (spam complaints)
    Chaque « Signaler comme spam » est enregistré contre votre domaine ou IP. Un taux élevé ruine rapidement la réputation.
  2. Taux de rebonds
    • Hard bounces : adresses inexistantes = hygiène de liste insuffisante.
    • Soft bounces : boîtes pleines/problèmes temporaires. Répétés, ils indiquent du throttling ou des blocages.
  3. IP partagée vs dédiée
    En IP partagée, vous « partagez » la réputation. Un mauvais voisin peut vous nuire. Les volumes réguliers préfèrent souvent une IP dédiée pour contrôler leur score.
  4. Variations brusques de volume
    Passer de 2 000 à 20 000 envois en une semaine paraît suspect. Les FAI peuvent imaginer un piratage ou un achat de liste.

Comment contrôler votre réputation

  • Utilisez des outils gratuits comme Google Postmaster Tools ou Microsoft SNDS.
  • Faites un check de blacklist avec MXToolbox ou équivalent. Une présence sur une grande liste noire explique souvent une chute brutale.
  • Analysez les plaintes et rebonds dans votre tableau de bord Mailpro. Un pic = un coupable probable.

Que faire si vous êtes sur liste noire

  • Stoppez l’envoi massif immédiatement. Continuez seulement vers vos abonnés les plus engagés.
  • Nettoyez votre liste : supprimez adresses invalides et contacts non engagés.
  • Rendez-vous sur le site de la liste noire (Spamhaus, Barracuda, etc.) et suivez la procédure de retrait. Certains demandent un formulaire, d’autres délistent après correction.

Comment Mailpro aide

Mailpro suit vos taux de plaintes, de rebonds et la délivrabilité par domaine. Pour des envois réguliers, nous pouvons fournir une IP dédiée pour bâtir votre propre réputation.

👉 À retenir : des mois pour construire la réputation, une seule mauvaise campagne pour la casser. Surveillez-la régulièrement.

Étape 4 — Auditer votre liste d’e-mails

Une cause souvent négligée d’une chute soudaine : une liste dégradée. Même avec une infra parfaite et un bon contenu, si vous écrivez aux mauvaises personnes—ou à des spam traps—la délivrabilité souffre.

Pensez votre liste comme un moteur : s’il est encrassé, peu importe la carrosserie—les performances chutent.

Pourquoi les listes se dégradent naturellement

  • Changements de job : les adresses pro deviennent invalides.
  • Abandons de boîtes : des comptes personnels inactifs deviennent des spam traps.
  • Désengagement : les abonnés cessent d’ouvrir, signal clair d’irrelevance pour les FAI.

Même propre, une liste perd 20–30 % par an sans maintenance.

Signaux d’alerte

  • Beaucoup de rebonds : les FAI se méfient de votre domaine.
  • Faible engagement : peu d’ouvertures/clics pendant des mois.
  • Spam traps touchés : risque de blacklist à la clé.

Comment auditer et améliorer

  1. Supprimez hard bounces et adresses invalides.
  2. Segmentez par engagement
    • Envoyez plus souvent aux actifs (ouvert/click ≤ 90 jours).
    • Réduisez la cadence pour les tièdes.
    • Lancez des campagnes de réactivation avant la suppression.
  3. Respectez l’inactivité : au-delà de 6–12 mois sans ouverture, le risque de plainte monte.
  4. N’achetez jamais de listes : pièges à spam et désintérêt garantis.

Comment Mailpro facilite

Mailpro propose des outils de nettoyage de liste et de segmentation :

  • Suppression automatique des adresses en rebond.
  • Tags/segments par niveau d’engagement.
  • Automatisations de réactivation—ou de désinscription élégante.

👉 À retenir : mieux vaut une petite liste propre qu’une grande liste « sale ». Un fort engagement maintient l’inbox.

Étape 5 — Revoir le contenu et la cadence

Même avec une authentification solide et une liste propre, le « quoi » et le « combien » peuvent déclencher les filtres. Les FAI observent qui vous contactez, mais aussi ce que vous envoyez et à quelle fréquence.

Comme un invité : si vous passez trop souvent ou si vous « parlez trop fort », vous usez la patience de l’hôte.

Pourquoi le contenu compte

Les fournisseurs scannent sujet, corps, liens et mise en forme. Un message jugé agressif, trompeur ou trop « pub » file en spam.

Signaux fréquents :

  • Sujets tape-à-l’œil : « GAGNEZ DE L’ARGENT VITE !!! », « Lisez CECI MAINTENANT !!! »
  • Trop d’images / images cassées avec peu de texte.
  • Liens problématiques : raccourcis, cassés, redirections multiples.
  • Pas de lien de désinscription : c’est légalement requis, et un critère fort pour les FAI.

Pourquoi la fréquence compte

  • Pics soudains de volume : suspicion de spam.
  • Sur-sollicitations des inactifs : les plaintes grimpent.
  • Rythme irrégulier : longues pauses puis « inondation » = comportement risqué.

Comment ajuster

  1. Rythme prévisible : hebdo, bi-hebdo, mensuel… et on s’y tient.
  2. Cadence par segment : plus pour les actifs, moins pour les froids.
  3. Contenu utile : tutoriels, guides, offres pertinentes ; pas de remplissage.
  4. Désinscription facile : paradoxalement, elle protège votre réputation.

Comment Mailpro aide

Mailpro intègre :

  • Un test anti-spam pour les objets et le contenu.
  • La segmentation par engagement pour éviter la sur-pression.
  • Des automatisations pour tenir la cadence sans effort.

👉 À retenir : qualité et régularité > quantité.

Étape 6 — Examiner les problèmes propres aux FAI

Parfois, le problème n’est pas global. Vous voyez Gmail chuter, mais Outlook/Yahoo restent stables : l’enjeu est spécifique à un fournisseur.

Pensez aux compagnies aériennes : chacune a ses règles bagages. Si vous n’appliquez pas la bonne règle au bon endroit, ça ne passe pas. Idem pour les FAI.

Les règles strictes de Gmail

Depuis 2024, Gmail exige notamment :

  • Alignement SPF, DKIM, DMARC.
  • Désinscription en un clic dans l’en-tête.
  • Faible taux de plaintes : 0,3 % peut déjà poser problème.
  • Volume cohérent : pas de pics brutaux.

Yahoo et AOL

Exigences proches de Gmail : authentification, plaintes basses, désinscription facile. L’engagement pèse lourd.

Outlook / Microsoft 365

Très attentif au B2B : plaintes, engagement et réputation. Possibles « throttlings » (soft bounces) en cas de volumes trop rapides.

Comment diagnostiquer

  • Dans vos statistiques Mailpro, filtrez par domaine (Gmail, Yahoo, Outlook…).
  • Repérez les écarts nets. Si Gmail s’effondre mais Outlook tient, ajustez selon les règles Gmail.
  • Envoyez des tests vers vos boîtes de différents FAI et vérifiez les spams.

Comment corriger

  • Gmail/Yahoo : alignez SPF, DKIM, DMARC et activez l’unsubscribe 1 clic.
  • Outlook : réduisez la pression, faites baisser les plaintes, réchauffez progressivement.
  • Tous FAI : visez l’engagement ; c’est le meilleur signal d’inbox.

Comment Mailpro aide

Mailpro permet de ventiler vos performances par domaine et d’utiliser le test anti-spam pour anticiper le filtrage selon Gmail, Yahoo, Outlook.

👉 À retenir : toutes les boîtes mail ne se comportent pas pareil. Adaptez selon le FAI en cause.

Étape 7 — Lancer un test anti-spam

Comme une balance avant un concert : avant d’envoyer à grande échelle, lancez toujours un test anti-spam. Il simule le comportement des filtres.

Ce que vérifie un test

Le test évalue votre message côté Gmail, Yahoo, Outlook :

  • Authentification : SPF, DKIM, DMARC passent-ils ?
  • Langage à risque : objets/corps avec « GRATUIT !!! », « 100 % GARANTI », etc. En savoir plus.
  • Mise en forme : trop d’images, liens raccourcis/cassés, redirections multiples ?
  • En-têtes : nom d’expéditeur clair et cohérent ?
  • Pied légal : adresse postale et lien de désinscription visibles ?

Pourquoi c’est crucial

Les FAI n’analysent pas que votre historique : ils inspectent chaque message. Un seul e-mail mal conçu peut déclencher des filtres et amorcer une spirale négative. Le test vous alerte avant.

Bien utiliser les tests

  1. Nouveaux gabarits : testez systématiquement.
  2. Après changements DNS/domaine : confirmez l’alignement.
  3. Objets : ajustez les formulations à risque.
  4. Corrigez immédiatement : de « petits » soucis s’additionnent vite.

Comment Mailpro aide

Mailpro propose un test anti-spam intégré qui vous indique les risques (authentification, contenu, mise en forme) et des actions concrètes. Idéal pour protéger votre réputation.

👉 À retenir : ne jamais envoyer « à l’aveugle ». Deux minutes de test = campagnes sauvées.

Test anti-spam Mailpro

Étape 8 — Appliquer la bonne correction

À ce stade, vous avez confirmé la baisse, vérifié l’authent, la réputation, la liste, le contenu et la cadence. Il est temps d’agir—avec la correction qui correspond à la cause, pas au hasard.

Comme en médecine : si le mal de tête vient de la déshydratation, un cachet ne suffit pas. Il faut le bon traitement pour le bon diagnostic.

Si le problème est l’authentification (SPF, DKIM, DMARC)

  • Vérifiez vos enregistrements DNS chez votre hébergeur.
  • Confirmez que les entrées SPF/DKIM fournies par Mailpro sont publiées correctement.
  • Si vous avez ajouté des services (CRM, transactionnel), autorisez-les dans votre SPF.
  • Publiez un DMARC, même en p=none pour commencer à recevoir des rapports.

👉 La correction d’authentification rétablit souvent rapidement la confiance, surtout chez Gmail et Yahoo.

Si vous êtes sur liste noire

  • Suspendez l’envoi massif. Continuer aggrave la situation.
  • Nettoyez la liste (invalides, non engagés).
  • Suivez la procédure de retrait chez Spamhaus, Barracuda, etc.
  • Reprenez progressivement sur vos segments les plus engagés après le delisting.

👉 Le retrait peut prendre quelques jours/semaines selon la sévérité : patience et rigueur.

Si la réputation a chuté

  • Réduisez le volume immédiatement.
  • Visez les segments très engagés (ouvreurs/clickeurs récents).
  • Envoyez des campagnes plus petites et plus qualitatives jusqu’au retour à la normale.
  • Évitez objets risqués et sur-sollicitations jusqu’à amélioration.

👉 Pensez « régime de réputation » : on coupe le superflu et on mise sur la qualité.

Si le contenu/la cadence posent problème

  • Réécrivez les objets : clairs, honnêtes, non « putaclic ».
  • Assurez un nom d’expéditeur fiable et cohérent.
  • Espacez les envois ; évitez la pression sur les inactifs.
  • Vérifiez la visibilité et le fonctionnement du lien de désinscription.

👉 Souvent, plus de clarté et moins de volume suffisent à rétablir l’inbox.

Si le souci est spécifique à un FAI

  • Gmail/Yahoo : alignez SPF/DKIM/DMARC + désinscription 1 clic.
  • Outlook : diminuez volume et plaintes, réchauffez doucement.
  • Tous : misez sur l’engagement.

👉 Adapter la stratégie par fournisseur est parfois la clé.

Comment Mailpro aide

Mailpro fournit :

  • Guides DNS pour SPF/DKIM,
  • Options d’IP dédiée si la réputation partagée vous pénalise,
  • Hygiène & segmentation pour cibler l’engagement,
  • Tests anti-spam pour déceler les risques en amont.

👉 À retenir : ne paniquez pas—corrigez la cause, une à la fois. La délivrabilité suit.

Étape 9 — Prévenir le retour des problèmes

Réparer une chute, c’est éteindre un incendie. La vraie victoire, c’est la prévention. La délivrabilité n’est pas un « one shot » : c’est une pratique continue.

Comme la santé : un coup de collier aide, mais seules les habitudes maintiennent le résultat.

De bonnes habitudes d’envoi

  • Réchauffez progressivement tout nouveau domaine/IP dédiée.
  • Restez régulier : les FAI aiment la prévisibilité.
  • Entretenez la liste : retirez rebonds, rôles et inactifs régulièrement.

Un contenu pensé pour l’abonné

  • Visez l’engagement : ouvertures, clics…
  • Renouvelez vos objets : clarté, curiosité maîtrisée, promesse tenue.
  • Respectez la désinscription : moins de plaintes = meilleure réputation.

Surveiller la réputation

  • Utilisez Google Postmaster Tools ou les analytics Mailpro.
  • Repérez les pics anormaux—souvent des signaux précoces.
  • Suivez par fournisseur pour anticiper les dérives.

Rester à jour côté règles FAI

Les exigences évoluent. Exemple : en 2024, Gmail a imposé la désinscription en un clic et un DMARC plus strict. Suivre ces mises à jour vous protège.

Comment Mailpro simplifie la prévention

Mailpro vous aide à rester proactif :

  • Hygiène automatique (suppression des rebonds et inactifs),
  • Segmentation par engagement (plus aux actifs, moins aux froids),
  • Tests anti-spam avant envoi,
  • Rapports détaillés par fournisseur.

👉 La prévention, ce n’est pas « faire plus », c’est mettre de bonnes routines et laisser l’outil travailler.

Conclusion

Une chute de délivrabilité peut sembler critique, mais avec une méthode de dépannage et des habitudes préventives, vous récupérerez—et en sortirez plus fort.

Avec l’infrastructure SMTP de Mailpro, la gestion de contacts, les tests anti-spam et les rapports, la boîte de réception redevient un objectif prévisible.

La meilleure défense ? Cohérence, transparence et une liste propre et engagée.

 

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