Quand on se lance dans une campagne emailing, plusieurs paramètres sont à étudier avant de commencer à envoyer quoi que ce soit, à qui que ce soit. Beaucoup d’annonceurs sont inquiets face à la stratégie à adopter et aux problèmes qui se posent à eux. En effet, si l’emailing est aujourd’hui un vecteur de succès et d’enrichissement, il peut aussi se révéler être une épine dans le pied quand il est mal utilisé. Voici donc un petit best of des inquiétudes les plus fréquentes rencontrées au cours d’une campagne emailing.
Récemment, les annonceurs se sont aperçus que le cycle de vie du client était essentiel pour caler les envois d’emailing. Cependant, il reste difficile, et le choix est pourtant crucial, de décider à quel moment envoyer ses campagnes. Il faut savoir qu’il n’existe pas de règle déterminant le moment le plus opportun. Selon l’impact que vous souhaitez avoir sur votre contact, donc selon vos objectifs, le moment peut varier. Par exemple, supposons que vous envoyez un emailing promotionnel à vos contacts. Votre but dans ce cas est d’augmenter votre taux de transformation. Par conséquent, si vous voulez amener vos prospects à l’achat, immédiat de préférence, il est nécessaire que ces derniers aient assez de temps devant eux pour prendre connaissance du mail, puis pour se rendre sur le site et acheter. Si vous connaissez le rythme de vie de votre prospect, comme ses moments privilégiés de consultation, alors vous trouverez le bon timing.
Autre inquiétude, le désabonnement massif. Quand des internautes s’abonnent, la partie est loin d’être gagnée. Vous avez réussi à les séduire, il faut à présent les satisfaire. Pour vous épargner de vous faire des cheveux blancs à propos de ce sujet, la meilleure des solutions reste encore de laisser le choix de la fréquence d’envoi à vos prospects. En plus de cela, si vous avez déjà réalisé des campagnes emailing auparavant, n’hésitez pas à vous servir des statistiques précédemment établies.
Comment savoir si la campagne est efficace ? Voici une question qui hante les nuits des annonceurs. Vous travaillez et il est naturel de savoir si ce travail porte ses fruits. Grâce aux multiples outils de diagnostic, comme ceux proposés par MailproTM emailing software, il vous sera facile et rapide d’obtenir des informations sur vos performances. Autre question qui découle de la précédente, comment interpréter un résultat ? Même s’ils varient en fonction des annonceurs et des campagnes, généralement, pour du B2C, on situe un taux d’ouverture entre 20 et 30% et un taux de clic compris entre 5 et 10%. Les campagnes destinées aux consommateurs affichent des taux plus faibles que ceux-ci.
Enfin, les annonceurs se trouvent souvent désarmés face à des prospects inactifs. Selon leur inactivité (absence d’achat, de clic ou d’ouverture), il vous faudra adopter différents comportements de relance. Vous trouverez chacun d’entre eux expliqué par d’autres articles sur le blog.