
Suite à votre campagne emailing, vous allez distinguer plusieurs catégories de prospects issus de votre base de données. Du plus réceptif au plus inactif. Les résultats de votre emailing vont vous permettre d’identifier ce dernier type de prospects, appelé les non-ouvreurs. Ces prospects reçoivent votre newsletter mais ne prennent pas le temps de l’ouvrir. Peut-être ne sont-ils tout simplement plus intéressés par votre contenu. On peut alors se demander s’il est utile de conserver cette partie de vos abonnés. On peut facilement segmenter la population en 3 catégories : les receveurs actifs (où sont inclus les ouvreurs et cliqueurs), les receveurs inactifs (ou non-ouvreur) et les non-abonnés. Votre campagne d’emailing ne se résume pas qu’à un taux d’ouverture ou de transformation. Les receveurs les plus actifs sont les plus susceptibles d’acheter vos produits en ligne suite à votre emailing. La fréquence d’achat de vos abonnés inactifs est supérieure à celle des non-abonnés tout comme leur niveau de fidélité et leur panier moyen. De plus, 7% du chiffre d’affaires d’une entreprise était réalisé par les non-ouvreurs en 2015[1]. Même s’ils ne représentent pas une partie majeure de votre chiffre d’affaires, gardez en tête qu’ils restent des clients potentiels. Vous avez plus de chance d’augmenter votre taux de transformation en prospectant un abonné inactif qu’un non-abonné. Tant qu’ils ne se désabonnent pas, vos non-ouvreurs reçoivent toujours votre newsletter, sont plus exposés à vos offres commerciales et gardent à l’esprit le nom de la marque qui leur envoie, ce qui n’est pas négligeable. Vos abonnés inactifs ne sont donc pas forcément à supprimer de votre base de données. [1] Selon une étude MailChimp